Pourquoi tout le monde devrait pratiquer la course à pied
& mon bilan à 2 posts / jour sur LinkedIn
Disclaimer : Cette newsletter est une enclave positive et optimiste d’Internet.
Elle s’adresse à ceux qui veulent grandir, se développer et croitre. C’est mon envie et tout ce que vous allez lire s’inscrit dans ce contexte. Bienvenue ! ✌️
Bienvenue à tous les nouveaux qui se sont inscrits récemment à cette newsletter. Je réponds à tous les emails - si vous avez la moindre question, n’hésitez pas ! ✌️😍
Bonjour tout le monde !
Ravi de vous retrouver pour ma newsletter personnelle.
C’est moi où le mois d’octobre est passé à une vitesse dingue ?!
J’ai l’impression que la fin de l’été était encore hier…
De mon côté, octobre a été assez calme et studieux. Je suis resté à Lyon, avec pas mal de travail pour bien clôturer la fin d’année et attaquer 2025 sur les bons rails.
J’ai passé une bonne partie du mois à animer l’Accélérateur Freelance et à préparer les évolutions du programme pour la prochaine session (qui aura lieu en janvier 2025).
Niveau perso, j’ai couru mon premier semi-marathon à Lyon, au début du mois. C’était une aventure géniale et j’ai prévu de vous en dire un mot dans cette newsletter. J’ai appris plein de choses et les parallèles que je dresse avec l’entrepreneuriat sont très nombreux.
En fin de newsletter, je vous partage également :
Le bilan de mon expérimentation à 2 posts par jour sur LinkedIn (et pourquoi j’ai arrêté) ;
Les ressources entrepreneuriales que j’ai adoré découvrir (podcasts + livres)
Cette newsletter vous est présenté par Swapn
Lancer son projet entrepreneurial, c’est un saut dans l’inconnu. Mais c’est tellement bon ! Ce qui peut refroidir, clairement, c’est la complexité des démarches.
Sachez une chose : le conseil sur la forme juridique, la rédaction des statuts, les démarches administratives... ça ne devrait pas être votre job.
Les pros de chez Swapn s'en occupent pour vous de A à Z pendant que vous vous concentrez sur l'essentiel : votre business. En deux ou trois semaines, c'est plié. Et c’est beaucoup moins cher que ce que vous imaginez.
Pourquoi tout le monde devrait pratiquer la course à pied
Oui, c’est exactement ce que vous pensez.
Vous vous apprêtez à lire la newsletter d’un jeune trentenaire qui vient de courir son premier semi-marathon et qui va vous partager les leçons “inspirantes” qu’il en a tirées.
J’ai bien conscience que ce genre de contenu est 100% cliché sur Internet…
Mais au diable les clichés !
Nous sommes sur ma newsletter et j’écris ce que je veux.
✌️
Dimanche 6 octobre dernier, j’ai donc couru mon premier semi-marathon, à Lyon.
J’ai terminé les 21 km en 1h49min. Cette performance n’a rien de remarquable en soi ; 2 300 personnes ont terminé la course avant moi ce jour là.
Malgré tout, je suis fier de moi puisque :
c’est la première fois que je cours sur une aussi longue distance de ma vie (j’étais monté jusqu’à 19 km au maximum pendant ma préparation, 2 semaines avant la course) ;
et j’ai couru à un bon temps 5’12 au km (selon mes standards habituels).
Je suis surtout fier de moi parce que… j’ai toujours détesté la course à pied.
Dans cette newsletter, j’ai donc envie de vous partager :
ce que j’ai appris
et le processus qui m’a conduit à ce semi-marathon.
Commençons par un petit historique de ma relation au sport. Selon moi, deux facteurs sont très importants pour performer dans la course à pied : la génétique et l’éthique de travail.
1. Ma génétique
Ici, j’ai du bon et du moins bon.
Déjà, je fais de l’asthme et des allergies depuis que je suis tout petit.
Mon asthme est surtout un asthme d’effort. Concrètement, je ne peux pas faire d’effort physique sans avoir du mal à respirer (obligé de prendre de la ventoline systématiquement avant, aujourd’hui encore). Si mes souvenirs sont bons, mon pneumologue m’avait dit que j’ai 10 à 15% de souffle en moins qu’une personne normale.
Niveau allergies, c’est du classique : chat, chien, cheval, acariens, pollen, bouleaux, etc.
Étant petit, j’ai le souvenir d’avoir joué un match de foot sur un terrain entouré de bouleaux : j’ai fini en PLS complet.
Heureusement, je me suis fait désensibiliser et ça va globalement bien mieux de ce côté. Sauf avec les chats qui sont toujours ma bête noire.
Malgré cela, j’ai toujours fait du sport.
J’ai démarré le foot dès que c’était possible et j’ai ensuite arrêté autour des mes 23-24 ans. J’ai joué à un bon niveau, avec plusieurs entrainements par semaine + match.
Ensuite, au lycée, je me suis aussi mis au tennis. Je suis monté jusqu’à un classement de 15/5. J’ai du arrêter quand je suis entré en Prépa (dur dur de cumuler deux sports à haute intensité) ; je n’ai gardé que le foot.
Je pense qu’à ce moment là (autour des 17-18 ans) j’ai atteint mon prime physique, notamment au niveau cardio.
Ensuite, ma pratique sportive a globalement diminué (prépa / école / entrée dans la vie active). J’ai toujours essayé de continuer un peu, mais de manière beaucoup moins rigoureuse et appliquée.
Dernier point notable sur mon physique : je ne suis pas très lourd. J’imagine que ça aide pour la course à pied.
2. Mon éthique de travail
Ici aussi, j’ai du bon et du moins bon.
Le bon, c’est que je suis capable de me mettre des coups de pression et d’être efficace dans le travail… quand je m’y mets. Juste la dose qu’il faut pour toujours bien passer.
Le moins bon, c’est que j’ai eu du mal à m’y mettre pendant très longtemps.
J’ai toujours eu des facilités à l’école ; j’obtenais des bonnes notes simplement en écoutant en cours.
Ces facilités m’ont porté jusqu’en prépa. Je n’ai jamais vraiment eu besoin de travailler.
Arrivé en prépa, j’ai du me mettre plus sérieusement au boulot. Mais même à ce moment, j’étais loin d’être le plus travailleur de ma classe (ce qui explique pourquoi j’ai fini à l’ESC Rennes 😄).
Dans le sport, c’était pareil. Au foot, je détestais l’entraînement fondamental de pré-saison qu’il fallait faire. Je cherchais tous les moyens pour tricher et y échapper. J’avais juste envie de jouer et de toucher le ballon.
J’ai joué à un bon niveau régional jusqu’à l’âge de 12 - 13 ans. Ensuite, les meilleurs travaillaient déjà plus que les autres. J’ai le souvenir de mon père qui me répétait : “prends un ballon et va t’entraîner à jongler dans le jardin !”. Je ne l’ai jamais écouté et j’ai progressé moins vite que les autres.
La conclusion, c’est que je n’ai jamais eu une grande éthique de travail. Je suis peu résistant à l’effort, avec un mental fragile.
Heureusement pour moi, j’ai eu une forme de déclic vers l’âge de 24 ans. Je me suis pris en main et j’ai commencé à davantage travailler.
C’est à ce moment, en 2016, où je me suis mis à beaucoup lire et écrire. J’étais motivé par une immense soif d’apprendre et de progression personnelle (qui me guide encore aujourd’hui). J’ai passé un cap dans ma rigueur et ma discipline personnelle : ce qui m’a ensuite bien servi pour mes aventures entrepreneuriales.
Je partais de plus loin, mais j’ai commencé à refaire mon retard, petit à petit. Et je suis vigilant à ne jamais stopper cette belle dynamique que j’ai lancée.
Mon rapport à la course à pied
Ce préambule vous permet donc de comprendre que je ne suis pas le mieux équipé pour performer dans la course à pied.
Malgré beaucoup de sport dans ma vie :
j’ai toujours détesté les entraînements de fond et le travail foncier ;
j’ai des capacités respiratoires assez faibles ;
mentalement, je suis peu résistant à l’effort et j’ai tendance à rapidement abandonner quand ça devient difficile.
La bonne nouvelle ? C’est que peu importe d’où l’on part, on peut toujours s’améliorer. Le travail est toujours la solution.
Depuis que je suis dans la vie active, j’ai tenté plusieurs fois de me mettre à la course à pied, étant convaincu des bienfaits pour la santé (cardio, santé mentale, réduction du stress, etc.).
J’ai suivi le trajet classique de tout débutant dans une nouvelle discipline : je suis motivé deux semaines et j’arrête. Trois mois plus tard, je m’y remets deux semaines… pour répéter le même schéma encore et encore.
Ce qui est difficile, c’est que la course à pied est particulièrement ingrate :
il n’y a aucun aspect “fun” (à la différence des sports de ballons) ;
il faut souvent braver les éléments (pluie / vent / froid) pour courir ;
c’est solitaire ;
c’est un sport qui demande un grand volume d’entraînement pour progresser.
Bref, c’est une discipline qui se joue 100% dans la tête. Si vous reposez uniquement sur la motivation pour y aller, c’est mort.
… Et c’est précisément pour cela que je me suis décidé à m’y mettre !
En 2022, je me suis décidé à franchir un cap et à me muscler mentalement. Et la course à pied est la discipline parfaite pour cela.
Nous voici donc deux ans plus tard, en octobre 2024. Avec une immense fierté personnelle : celle de m’être tenu à mon plan et de m’être accroché dans les périodes difficiles.
Aujourd’hui, je peux le dire : j’adore la course à pied. J’ai intégré plusieurs sessions de course dans ma semaine, que j’attends chaque fois avec impatience.
Au niveau des chiffres, voici ce que cela donne.
En 2022, j’ai couru 40 fois, pour un total de 208 km
En 2023, j’ai couru 104 fois, pour un total de 626 km
En 2024, j’ai déjà couru 92 fois, pour un total de 705 km
D’octobre 2022 à octobre 2023, mes statistiques Strave ressemblent à cela :
D’octobre 2023 à octobre 2024, mes statistiques Strava ressemblent à cela :
Avec le recul, voici ce que j’ai appris :
Les 10 à 15 premières sorties sont ultra chiantes ; pour ne pas dire insupportables. Au début, courir n’est rien d’autre qu’une torture. On s’ennuie et on prend zéro plaisir. Mais une fois cette grosse dizaine de courses passées, la mécanique s’installe et on commence à s’y habituer. Il n’y a pas de secret : au début, il faut se forcer à lutter contre l’inconfort.
Les douleurs font partie du jeu. Les sessions où je n’ai aucune douleur (ou petite gêne) sont très rares. Généralement, j’ai toujours une cheville ou un genou qui grince un peu. Au début, j’étais vigilant à ne pas forcer et je me laissais facilement convaincre par mon cerveau que je devais arrêter de courir (mental fragile). Mais avec la répétition, j’ai compris que les douleurs font partie du jeu. Il faut simplement apprendre à les gérer, les reconnaître et faire avec.
Chaque session de course à pied est une bataille contre soi-même. Vraiment. Même avec de l’expérience et de l’entraînement, les premières minutes sont toujours difficiles et inconfortables. À chaque session, il faut repartir de zéro et être prêt à partir au combat.
Notre cerveau est notre pire ennemi. C’est affolant à quel point notre cerveau veut tout faire pour nous dissuader de courir. À chaque course, j’observe absolument les mêmes schémas :
→ avant de courir, j’ai zéro envie d’enfiler mes baskets et de sortir
→ début de course, je me dis : “oula, tu vas y aller tranquille aujourd’hui, t’es pas en forme”
→ au bout de 2-3 km : “ah tu as cette pointe douleur au mollet, attention à ne pas forcer”
→ au bout de 5-6 km : “bon c’est déjà pas mal ce que t’as fait là, tu feras plus la prochaine fois”
Au début, je me faisais avoir par ces pensées. Mais, ensuite, j’ai compris ce qu’essaie de faire mon cerveau et j’arrête d’y prêter attention. À chaque fin de course, quand j’ai été assez fort pour ne pas écouter mon cerveau, c’est toujours une immense satisfaction et fierté.Tout n’est qu’habitude, préparation et volume d’entraînement. Au début, courir 5 km me paraissait déjà costaud. Courir 10 km me semblait totalement hors de portée. Et je ne parle pas de 15 ou 20 km. Mais à chaque nouveau palier atteint, de nouvelles possibilités s’ouvre dans notre tête. On se rend compte que c’est possible et que l’on n’est pas si loin.
Chaque pause dans l’entraînement (voulue ou subie à cause d’une blessure) stoppe la progression et casse le momentum. C’est dingue. Dès que vous brisez votre dynamique d’entraînement, vous devez faire deux fois plus d’efforts pour repartir. Sur le coup, cela peut être très frustrant et la tentation de jeter l’éponge est assez forte. Ma stratégie, c’est de dézoomer et de penser long terme : si je raisonne sur 12 mois, c’est normal qu’il y ait des périodes de creux. Ce qui compte c’est de continuer.
Quand il pleut et qu’il fait froid, les sorties comptent running double. Parce que c’est plus difficile et que votre volonté est réellement mises à l’épreuve. Courir le long de la mer, au soleil, c’est facile. Mais courir sur les pavés mouillés, en hiver, par 5 degrés est réservé aux braves.
C’est drôle car avec le temps, ces sorties sont devenues mes préférés. Car je sais que c’est à ce moment que j’endurcis mon mental et que je creuse l’écart (avec mon moi d’il y a quelques années).La règle des 40%. Celle-ci, je l’ai piqué à David Goggins. Pour lui, dès que l’on pense être cramé pendant une course, c’est qu’il nous reste encore 40% d’énergie dans le moteur. Je trouve cela assez juste.
C’est incroyablement gratifiant de voir ses performances s’améliorer. Je crois que c’est l’un des gros aspects positifs de la course à pied : on a accès à des statistiques très précises sur la vitesse, la distance, etc. Cela rend la progression facilement mesurable et observable… qui crée une boucle de renforcement positive et nous pousse à continuer.
Dernière grosse leçon : si vous voulez réellement ancrer une pratique dans votre vie, vous devez la voir comme un jeu infini. Si vous démarrez la course à pied avec l’espérance tout de suite de devenir fort ou de faire tel temps, il y a de fortes chances que vous abandonniez en cours de route. En revanche, si vous approchez la course à pied avec peu d’attente et simplement l’envie d’en faire une partie de votre identité, il y a de fortes chances que vous y arriviez. Je vois exactement la même chose pour la salle de sport :
Si vous vous y mettez pour être musclé dans 3 mois, vous allez rapidement abandonner en voyant que c’est difficile et que cela prend plus de temps que prévu.
Mais si vous y allez avec l’envie profonde d’intégrer cette pratique dans votre vie, pour les années à venir… alors il y a de très fortes chances que vous deveniez musclé.
Mon bilan, c’est que oui, la course à pied m’a clairement permis de me muscler mentalement. J’ai l’impression d’être plus résilient à l’effort.
La course à pied m’a apporté un gros boost de confiance en moi. Je me prouve à moi-même que je suis capable de faire des choses difficiles.
Je montre à mon cerveau que ma volonté est le commandant suprême de tout le reste.
Et je vois à quel point l’histoire qu’on se raconte de soi-même est cruciale. Pendant longtemps, je me disais que la course n’était pas fait pour moi, blabla. Foutaises : on devient l’histoire que l’on se raconte.
Ce que j’aime aussi avec la course à pied (et le sport en général), c’est qu’elle crée une spirale positive qui se répercute sur tous les aspects de ma vie :
Je mange mieux
Je fais attention à mon sommeil et ma récupération
Je prends davantage soin de mon corps
Je me suis même acheté une montre connecté et je prends des compléments alimentaires. Cela peut sembler bête, mais c’est symbolique. J’ai façonné mon identité et mon comportement pour devenir ce genre de personne.
→ Votre identité détermine les actions que vous mettez en place.
→ Les actions que vous mettez en place détermine vos résultats.
→ Vos résultats détermine la qualité de la vie que vous menez.
Ce qui est drôle et intéressant, c’est que j’aurais pu écrire exactement la même chose pour l’entrepreneuriat, sur chacun de ces points.
D’ailleurs, ce n’est pas un hasard si depuis deux ans, la croissance de mon activité a suivi la même trajectoire que ma croissance personnelle.
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Ah le débrief de mon semi-marathon ? J’ai adoré !
Je suis parti sur un rythme volontairement lent sur les 10 premiers kilomètres pour me mettre dans le rythme et ne surtout pas être dans le rouge trop vite.
À partir du kilomètre 12, je me suis senti hyper bien. J’ai accéléré jusqu’à la fin, pour finir en boulet de canon.
Il s’est mis à pleuvoir sur la deuxième partie de la course… et j’ai adoré ! Finalement, j’ai terminé le semi en 1 heure et 49 minutes.
Bilan de mon expérimentation à 2 posts LinkedIn / jour
Dans ma newsletter de septembre, je vous expliquais mon ambition de publier deux fois par jour sur LinkedIn.
Je l’ai fait pendant un mois : je publiais chaque jour à 09h du matin, puis vers 15h ou 16h.
Après ce test, je décide de revenir en arrière et de ralentir la cadence : je repasse au rythme d’un post par jour.
Voici ce que je retiens de cette expérimentation.
D’abord les points positifs :
J’ai augmenté ma visibilité et le nombre quotidien d’impressions que je génère. Logique : plus de posts = plus de visibilité. C’est bête et méchant. En termes de statistiques, septembre a été l’un de mes meilleurs mois de l’année (un peu moins de 250k impressions).
Ce n’était finalement pas si difficile que cela. C’est comme tout : il n’y a pas de question de temps, uniquement de priorité. Si je prends 30 minutes par jour pour écrire 1 post LinkedIn, alors il suffit que je me bloque 1 heure pour en écrire 2. Et c’est ce que j’ai fait.
Qui dit plus de posts, dit plus de chances de faire un hit. Ici encore, c’est logique. En publiant plus, j’augmente ma surface de chance et la probabilité que certains posts cartonnent vraiment.
Maintenant les points négatifs :
Ce rythme intense oblige de sacrifier (ne serait-ce qu’un peu) la qualité. J’avais tendance parfois à chercher la facilité sur certains posts : sur le format, les idées. Et ce n’est pas un compromis que j’ai envie de faire.
Je ne maximise pas le potentiel de chaque post. En publiant trop, les posts ont tendance à se cannibaliser entre eux. Généralement, un post que je publie à 9h et qui fait 60 likes à 15h, va atteindre les 80 likes vers 18h. Et le lendemain, il va finir autour des 120 likes. (c’est exactement le cas de ce post). Mais en publiant un nouveau post à 15h, je coupe l’élan de mon post du matin.
Ma conclusion, c’est que les points négatifs surpassent les points positifs. D’où mon retour à un post / jour.
Avec un petit twist malgré tout : j’ai décidé de me laisser plus de temps pour écrire mon post du jour et varier les formats.
Tout le monde essaie de trouver des raccourcis pour écrire ses posts le plus vite possible… je pense que c’est une erreur. Car cela ne conduit qu’à une chose : de contenu moyen, voir merdique.
Je fais le pari inverse : y dédier plus de temps, pour élever le niveau de ce que je produis. J’ai notamment prévu beaucoup plus de gros carrousel full-valeur full-éducation. Comme celui-ci par exemple. Ainsi que de la vidéo.
Stay tuned !
Mise en avant de Manon, lectrice de la newsletter
Vous le savez, je propose des cadeaux pour les personnes qui partagent et recommandent cette newsletter.
Manon a dépassé les 10 parrainages, elle a donc gagné le droit de mettre un encart. Le voici :
Tu es entrepreneur.e et tu veux vendre davantage mais tu n’y arrives pas malgré tes efforts ? Tu te mets la pression à chaque appel de vente ? Fixer et annoncer tes tarifs te met mal à l'aise ?
Manon Vercouter est spécialiste des blocages inconscients et des dynamiques psycho-émotionnelles chez les entrepreneurs. Elle te propose une conférence gratuite pour comprendre pourquoi les stratégies de vente classiques échouent pour toi et quels sont les facteurs inconscients qui impactent tes ventes et ton CA.
Découvre ce qui entrave réellement tes résultats business sans que tu t'en aperçoives et apprends à libérer ces blocages inconscients pour développer ton entreprise de manière plus sereine et durable."
Les ressources du mois
Commençons d’abord par mes lectures du mois
Je n’ai pas pu passer à côté du livre que Xavier Niel vient de sortir. Ce livre est une longue interview de Niel, dans laquelle il aborde tous les sujets : son parcours, la création de Free, de 42, de Station F, l’entrepreneuriat, l’écologie, la France, le fait d’être milliardaire, l’avenir de la société à l’ère de l’IA, etc.
Une lecture simple et rapide qui permet de se plonger dans la tête de Niel. On y découvre un homme humble et attachant. J’étais d’accord avec à peu près toutes ces opinions.
La France a besoin de plus de Xavier Niel.
Il s’agit de la biographie de Ray Kroc, l’homme qui a transformé un petit restaurant de burger de Californie… en McDonald’s.
Vous notez que je ne dis pas qu’il s’agit du fondateur de McDonald’s, puisque ce n’est pas le cas.
La marque a d’abord été créé par les frères McDonald’s qui n’avait aucune intention d’en faire une chaîne mondiale de restaurants.
Ils avaient simplement créé un super restaurant à San Bernardino avec un menu ultra simple : un burger, des frites et uniquement des commandes à emporter. Le restaurant était extrêmement bien processé et pensé.
Petit à petit, des franchises de ce restaurant se sont disséminés à travers les États-Unis, ici et là. Ray Kroc était l’un des plus gros franchisés, dans la région de Chicago. Après avoir créé plusieurs dizaines de restaurants, il a finalement racheté la marque aux deux frères et l’a développé pour en faire la mastodonte que l’on connaît aujourd’hui.
Je vous passe de nombreux détails, mais le livre est vraiment inspirant. C’est une vraie bonne biographie d’entrepreneur.
Le plus intéressant avec l’histoire de Ray Kroc ? C’est qu’il a commencé à ouvrir des restaurants McDonald’s passé l’âge de 50 ans. Avant, il avait passé sa vie a essayé de vendre des machines à milk-shakes.
Une belle leçon de patience et de grind.
Si vous souhaitez un aperçu, Stan Leloup en parle dans ce podcast.
C’est le premier vrai roman de Murakami que je lis (j’avais déjà lu ses deux autobiographies ici et ici) et j’ai plutôt bien aimé.
Un roman parfait pour l’automne… et pour préparer un voyage au Japon. 😄
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Niveau podcast, j’ai aimé :
Le retour du format solo des podcasts de Théo Lion. Comme d’habitude, il partage de nombreuses réflexions sans filtre sur l’entrepreneuriat.
En y réfléchissant, je crois que c’est l’un des rares entrepreneurs francophones dont je consomme et j’apprécie réellement le contenu. C’est toujours intéressant.
Je vous partage également cette vidéo d’Eliott Meunier qui raconte son dernier gros pivot entrepreneurial.
Plein de réflexions intéressantes qui nourrissent les miennes.
Je vous en reparlerai dans l’une des éditions prochaines, mais j’ai également prévu de prendre certaines décisions pour simplifier mon business. Un peu dans la lignée de ce que raconte Eliott dans vidéo.
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Et enfin, comment ne pas parler du dernier exploit de Space X ?
L’entreprise américaine a réussi à rattraper au sol un étage d’une fusée lancée dans l’espace.
Cet événement est tristement passé inaperçu dans l’actualité… voir parfois pris de haut par certains cyniques.
On parle pourtant d’un exploit jamais réalisé dans l’Histoire, dont on devrait tous se réjouir.
L’être humain continue de repousser les limites de la science, de l’exploration, de l’ingénierie, et de la technologie.
L’être humain continue d’apprendre et d’avancer vers le progrès.
Keep the faith !
Bon dimanche,
Valentin
Toujours très agréable à lire ! Merci.